Auckland, jours 2 et 3

Le deuxième jour à Auckland, je suis allée à la poste pour soumettre mon formulaire de demande de numéro fiscal. Je suis allée du côté de Ponsonby, parce que j’avais vu que la poste y était ouverte le samedi. Je me suis un peu promenée dans les rues, malgré la bruine et le vent. Pour aller à Ponsonby depuis l’auberge, ça grimpe ! Je ne m’imagine vraiment pas faire du vélo ici. Certaines rues sont assez pentues pour que je peine à pied ! Au retour, en descendant de la colline, je pouvais voir le centre ville au loin, avec Sky Tower la pointe dans les nuages.

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Ce qui m’a marqué aussi pendant ce retour, c’est le chant des oiseaux. Dans les petites rues tranquilles que j’ai empruntées, on n’entendait qu’eux. J’avais l’impression d’être dans une forêt tropicale.

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Je n’ai rien fait de plus ce jour-là, j’ai profité du mauvais temps pour me reposer.

Le lendemain, je suis allée au port, car un résident de l’auberge m’avait parlé des visites gratuites à pied d’Auckland, qui démarraient au port et qui commençaient à 10h. Je m’y suis donc rendue et ai suivi la visite, qui a duré 3h et qui était vraiment bien, et pendant laquelle j’ai appris plein de choses sur l’histoire d’Auckland et de la Nouvelle Zélande.

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À la fin le la visite, j’ai demandé au guide s’il avait des tuyaux pour manger végétalien en Nouvelle-Zélande (rien de spécial comprativement à Paris), et il m’a invitée à manger un burger végé avec l’autre guide et lui, tous deux végétaliens, ainsi qu’un petit groupe de jeunes touristes qui avaient suivi la visite avec l’autre guide.

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Sur les conseils des guides, les jeunes touristes, une allemande et une suisse, et moi nous sommes donné rendez-vous en fin d’après-midi pour prendre le ferry pour Devonport et regarder le soleil se coucher sur la ville depuis le sommet de Mount Victoria.

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Premier jour à Auckland

Après avoir récupéré mes bagages et passé la douane, j’ai pris la navette que j’avais réservée et qui m’emmenait juste devant l’auberge de jeunesse où je devais passer la nuit, ou plutôt ce qu’il en restait. Je suis arrivée devant la porte à minuit quarante-cinq, et j’ai sonné à l’interphone à l’entrée. Pas de réponse. Je commençais à me demander ce que j’allais bien pouvoir faire, seule avec mes valises, en pleine nuit et sous la pluie… Et puis quelqu’un est entré dans l’auberge. Il m’a laissé entrer, m’a indiqué où était le bureau du manager (fermé) et a disparu dans sa chambre. Au moins je n’étais plus dehors, et il y avait une pièce avec des canapés, je pouvais toujours dormir dedans en attendant le matin… Puis quelqu’un d’autre est rentrée, m’a demandé si tout allait bien et m’a dit qu’il y avait un lit de libre dans la chambre où elle dormait, que c’était peut-être le mien. Elle m’a montré la chambre, et j’ai pu faire mon lit, prendre une bonne douche et dormir jusqu’au matin.

Jardin de l'auberge

J’ai parlé au manager le lendemain, et il s’est avéré que j’avais bel et bien dormi dans le lit qui m’était réservé ! Ouf !

Je suis ensuite allée au supermarché m’acheter de quoi petit déjeuner. L’auberge se trouve à 20 minutes à pied du centre ville, dans un quartier pavillonnaire. La première chose que j’ai remarqué, c’est les collines partout. Il n’y a quasiment pas de rue qui ne soit pas en pente. Ensuite, c’est la végétation, qui est abondante et très différente de ce que j’ai l’habitude de voir en France.

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J’ai beaucoup aimé le supermarché : on y trouve beaucoup plus de choses que j’ai l’habitude de manger que dans les supermarchés français. Il y a du choix dans les laits végétaux, on trouve toutes sortes d’herbes aromatiques, des produits de cuisine asiatique de vraies marques asiatiques au lieu des marques génériques qu’on trouve en France, des purées de noix de différentes sortes (dont plein de beurre de cacahuètes) un rayon entier de houmous de toutes sortes et même de la levure maltée !

Après le petit déjeuner, je suis allée faire un tour en centre ville, pour aller activer mon compte en banque ainsi que récupérer un formulaire pour faire ma demande de numéro fiscal, qui semble aussi servir de numéro de sécu. Je suis passée par Queen Street, la rue commerciale principale.

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J’ai trouvé drôle le Père Noël bien habillé pour l’hiver, qui détonne avec le temps printanier et qui se rapproche de l’été !
J’ai pu me trouver une paire de tongs que j’avais oublié de prendre ainsi que de la crème hydratante qui n’avait pas le bon format pour être autorisée dans l’avion.

Le soir je me suis cuisiné des lentilles et poivron au curry thaï. J’en ai fait beaucoup trop, et j’ai partagé avec un autre résident en échange d’une bière. J’aime bien l’auberge de jeunesse pour ça : c’est facile de socialiser, on n’est pas tout seul.

C’est parti pour l’aventure !

Voilà plus de 5 ans que je n’avais rien publié sur ce blog !

Beaucoup de choses ont changé : j’ai rencontré Tomne, j’ai déménagé 6 fois et je travaille maintenant dans le développement web (ce que ce blog ne reflète pas ^^).

Depuis mon retour d’Irlande en tant que fille au pair il y a 10 ans, j’avais gardé l’envie de retourner découvrir la vie dans un pays étranger. J’attendais d’avoir fini mes études et d’avoir une occasion de repartir. Ça a failli se faire avec Tomne, qui devait aller à San Francisco pour le travail, mais finalement ça a été annulé.

Il y a deux mois, à cause d’un manque de communication, Tomne et moi avions rompu, et j’ai donc décidé qu’il était temps de faire ce dont j’avais envie depuis toutes ces années : partir à l’étranger.

À l’étranger, mais où ? Mnêmosunê, une amie proche, ne m’avait dit que du bien de Montréal, alors je me suis renseignée sur les visas : le plus simple et le plus rapide pour les moins de 35 ans a l’air d’être le permis vacances travail, mais qui est en nombre limité et sur tirage au sort. On peut donc attendre 10 mois pour finalement apprendre que l’on n’a pas de visa… Moi qui avais envie de partir vite pour ne pas perdre l’énergie de la nouvelle décision, ça me paraissait trop lointain et incertain. Alors j’ai regardé d’autres destinations, à commencer par la Nouvelle Zélande, qui est une destination que j’ai gardé en tête depuis très longtemps, sans trop savoir pourquoi.

Le permis vacances travail néo-zélandais, c’est jusqu’à 30 ans, mais il n’y a pas de places limitées comme au Canada, et la demande se fait par internet en moins d’une semaine. Si je voulais quand même aller à Montréal, rien ne m’empêchait d’aller attendre de savoir si j’aurai un visa pendant que je serais en Nouvelle-Zélande ! Et puis, si je voulais voir la Nouvelle-Zélande, il ne me restait qu’un an avant d’être trop vieille alors que j’ai encore 6 ans devant moi pour aller au Canada.

C’est ce que j’ai donc décidé de faire. J’ai pris mes billets, j’ai fait tous les papiers nécessaires, le temps de quitter mon emploi correctement et me voilà partie pour Aotearoa, le pays du Long Nuage Blanc.

Entre temps, la rupture ayant permis de réouvrir la communication, Tomne et moi sommes de nouveau ensemble et plus fort que jamais : nous allons nous marier ! Nous ne savons pas encore quand ni où, puisque je pars au moins un an en Nouvelle-Zélande, nous nous retrouverons !

Avion Air New Zealand

Après 22h de vol et 2h d’escale à Singapour, j’ai atterri à Auckland le 17 novembre à minuit moins vingt…

Une couverture pour mon Kindle !

À plusieurs reprises, j’ai vu traîner sur la table de chevet de clients de l’hôtel le fameux Kindle d’Amazon, un livre électronique. Et puis il y avaient les pubs dans l’Underground de Londres où j’ai passé un petit week-end avec ma mère et ma sœur. L’idée d’en avoir un a germé dans ma tête, alors une nuit, je me suis renseignée, j’ai un petit peu réfléchi, et puis… j’ai craqué !

Deux jours d’impatience plus tard, j’ai reçu mon Kindle 3  au pied de mon immeuble. En ouvrant la boîte, il y avait déjà quelque chose d’affiché sur l’écran. C’est tellement inhabituel que j’ai cru que c’était imprimé sur le plastique qui le protégeait ! Si je regarde de près je peux voir les pixels, mais comme quand je lis je ne suis pas concentrée sur les pixels qui composent les lettres, ça me fait plutôt l’effet d’un texte imprimé. :) Ce que j’aime particulièrement, c’est le dictionnaire intégré : comme je lis beaucoup en anglais mais qu’il me manque tout de même des mots de temps à autres, il me suffit de mettre le curseur devant le mot qui me pose problème, et il m’en affiche la définition dans un petit encadré.  C’est quand même plus pratique que d’attraper son dictionnaire, trouver la page, et surtout pour se promener le dictionnaire avec soi ! Comme je lis plutôt dans les transports sur le chemin du travail, quand je butais sur un mot, eh bien je n’avais aucun moyen d’en connaître le sens. Ce temps est maintenant révolu ! :p

Sauf que justement, pour pouvoir me le promener, mon Kindle, il me fallait le protéger des clés et autres stylos qui sont dans mon sac. Et vu le prix des couvertures de Kindle du commerce, je suis, une fois de plus, arrivée à la conclusion que je ferais mieux de me la fabriquer moi-même. N’ayant pas trop d’idée, j’ai fait une recherche sur internet et je suis tombée sur une couverture de Kindle toute simple qui peut se mettre en chevalet. Cette couverture me plaisait bien dans l’idée, mais deux choses me gênaient :

  • la poche cache le clavier et surtout bloque l’accès au bouton on/off et aux prises jack et usb
  • les côtés ne sont pas protégés

Alors j’ai réfléchi, et puis j’ai trouvé ! Voyez plutôt :

ma couverture de Kindle, fermée
ma couverture de Kindle, ouverte
ma couverture de Kindle, mise en chevalet

Ce n’est pas parfait mais ça me plaît bien ! Je suis contente parce que le Kindle tient vraiment bien à sa place. Les petits lacets sont faits avec un méthode médiévale de tressage avec des boucles. C’est le « Broad lace of V. bows » de Nature Unbowelled, un vieux livre de 1655 ! Je ferai peut-être un article sur cette technique !

Nouveau départ

Voilà des lustres que je ne vous ai pas donné de nouvelles ! Beaucoup de choses ont changé depuis.

Il y a quatre mois, j’entamais une quatrième année de vie commune avec mon Shamaloo dans notre appartement, et je venais d’obtenir mon dernier diplôme.
Depuis on s’est séparés, je n’ai plus d’appartement (je ne suis quand même pas à la rue je vous rassure) et j’ai trouvé un travail tout à fait inattendu…

Après avoir terminé ma formation pour savoir créer une petite entreprise, il fallait que je trouve un travail, parce que pour créer mon entreprise, il faut commencer par avoir des sous ! Mais après avoir étudié l’horlogerie et la menuiserie dont je ne compte pas faire mon métier, je ne savais pas trop dans quoi travailler. J’ai postulé dans des boutiques qui vendent de la laine, sans succès.

Et puis un lundi de janvier, j’ai reçu un coup de téléphone de la dame grâce à laquelle j’ai eu la formation de création d’entreprise, qui me demandait des nouvelles. Et en apprenant que je n’avais pas trouvé d’emploi elle me dit : « Ça te dirait de travailler dans l’hôtellerie ? Je connais une dame qui pourrait t’aider à trouver un emploi dans l’hôtellerie, c’est pas forcément génial comme boulot, mais c’est toujours ça. »

L’hôtellerie ? Je ne connais absolument pas, mais pourquoi pas… Le lendemain, mardi matin, je vais donc voir cette fameuse dame. Elle m’explique qu’elle est formatrice pour un diplôme de femme de chambre en contrat de professionnalisation, et que si je veux faire ça il faut que je trouve un hôtel pour m’embaucher. Elle me prévient que nettoyer les chambres d’hôtel c’est un métier ardu qui demande beaucoup de courage et de motivation. Mais n’ayant pour ainsi dire jamais mis les pieds dans un hôtel, elle m’envoie accompagner deux autres femmes à la recherche d’un hôtel pour voir si les hôtels ça me plaisait. Et de ce que j’en ai vu, ça me plaisait assez :)

Alors le lendemain midi, mercredi, mes CV et mes lettres de motivation sous le bras, je pars démarcher les hôtels. En une heure, j’ai déposé des CV dans dix hôtels différents. Et l’après-midi même, je reçois un coup de fil de la gouvernante générale d’un hôtel 4 étoiles qui veut me voir le vendredi matin pour un entretien d’embauche !

Vendredi matin, à l’entretien d’embauche, elle me questionne sur mon parcours atypique, puis me dit : « Je trouve quand même dommage que vous ne postuliez que pour femme de chambre, il faut voir à long terme, vous pourriez être gouvernante. Je vous laisse réfléchir, mais quoi que vous choisissiez, gouvernante ou femme de chambre, je vous prends » !
Pour que vous situiez, la gouvernante, c’est celle qui organise et contrôle le travail des femmes de chambre et vérifie que tout est en ordre dans l’hôtel et dans les chambres pour les donner à louer à la réception.

J’ai quand même hésité, parce que je ne me voyais pas arriver là de nulle part et me mettre à superviser des dames qui font leur métier depuis des années. Mais ma formatrice m’a dit que quand on nous fait une offre pareille, on refuse surtout pas, alors j’ai accepté. Et elle a eu raison !

Voilà comment, alors que je ne connaissais même pas l’existence de ce métier, en moins d’une semaine j’ai trouvé un emploi de gouvernante dans un hôtel de luxe ! À croire que j’ai une bonne étoile…

Cela fait donc deux mois que je travaille dans un hôtel, j’ai quand même commencé par être femme de chambre quelques jours pour que je sache vraiment ce que c’est. Eh bien je dois dire que ça force le respect, parce que comme l’avait dit ma formatrice, c’est vraiment un métier dur et il faut du courage ! Et le métier de gouvernante, c’est passionnant ! Je ne suis pas près d’en avoir fait le tour, il se passe tous les jours des choses différentes, et je commence seulement à me débrouiller un petit peu tellement il y a à apprendre… C’est très crevant, mais ça en vaut la peine :p
Et puis, ce qui ne gâche rien, l’hôtel est super, il y a une bonne ambiance, on prend soin des employés et ils prennent à cœur de bien me former !

Je suis toujours surprise de ce coup de bol incroyable, quand j’y pense…

Du nouveau dans mon design !

Ces trois derniers jours, je me suis replongée dans les méandres de WordPress, du PHP et du CSS pour apporter quelques petites modifications à mon blog.

D’abord, j’ai ajouté une petite touche de finition dans le design de mon blog : les coins arrondis. Vous ne les voyez peut-être pas encore, suivant le navigateur que vous utilisez, car c’est une propriété de CSS 3, qui n’est pas encore mise dans tous les navigateurs ! Si vous utilisez Safari ou Chrome ou Opera vous les voyez certainement, sinon il faut avoir les versions bêta de Firefox 4 ou Internet Explorer 9 pour en profiter. Ce n’est probablement pas visible, mais j’ai dû repenser la structure de certains éléments de mon blog pour pouvoir le mettre en place : les coins arrondis ça pardonne moins facilement que des rectangles parfaits ! Mais depuis sa création, mon blog me semblait manquer de quelque chose, il me laissait une impression d’inachevé, et je pense que les coins arrondis ça lui donne vraiment un air plus fini.

Ensuite, je me suis penchée sur les avatars des gens dans mes commentaires. Si vous avez un compte sur Gravatar, ça affichait (et ça affiche toujours d’ailleurs) votre avatar personnel. Mais la plupart des gens n’on pas de compte Gravatar, et donc ils avaient tous le même avatar gris neutre et terne qui ne me plaisait pas vraiment. Quand j’ai créé mon blog, j’avais bien cherché mieux, mais les générateurs d’avatars existants ne me plaisaient pas, et je ne savais pas trop quoi mettre comme images à la place.

Il y a trois jours, donc, j’ai trouvé quoi mettre comme images ! J’allais générer des avatars aléatoirement grâce à mon cher ami Context Free Art Grammar :) J’adore ce logiciel, parce que j’aime bien programmer et j’aime faire des images sur ordinateur, et il allie les deux ! D’ailleurs, je ne crois pas l’avoir dit, mais les arbres qui servent de fond à ce blog ont été générés avec Context Free et du code que j’ai écrit et j’ai ensuite peint les feuilles dans GIMP. D’ailleurs j’ai écrit un tutoriel sur la génération d’arbres avec Context Free si vous voulez essayer ! Pour en revenir à mes avatars, j’avais déjà pensé à Context Free pour les générer, mais faire un code qui produise des avatars assez différents les uns des autres pour être reconnaissables, et qui soit en plus jolis, ce n’est pas évident ! Et récemment, mycelium, un habitué de la galerie Context Free Art a publié sa création qui répondait à ces deux critères :D

Ensuite venait le problème de générer assez d’avatars différents pour qu’on ne retombe jamais sur les mêmes. Et générer une image, et l’enregistrer avec un nom chaque fois différent (forcément sinon ça efface la précédente) des dizaines de fois, c’est plutôt fastidieux et rébarbatif. Alors en bonne geek que je suis, j’ai cherché sur la toile comment écrire un petit script qui me ferait ça automatiquement :p Et donc, j’ai pu faire en sorte qu’en tapant une simple petite commande dans la console de mon Linux, ça me génère 400 avatars numérotés en moins de trois minutes. Je n’ose même pas imaginer combien de temps ça me prendrait à faire à la main !

En voici quelques uns :

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Ensuite il me fallait un plugin qui attribue un avatar à chaque personne, et toujours le même pour cette personne. J’ai trouvé Wavatar, qui attribue un avatar à chacun en se servant de l’adresse e-mail renseignée. Comme il génère des petits monstres plutôt que les avatars que je veux, j’ai dû me plonger dans son code pour le modifier. Et puis gros problème aussi, dans les commentaires que je rapatrie de mon ancien blog, il n’y a pas d’adresse mail ! J’ai donc dû encore plus le modifier pour que, s’il n’y a pas d’adresse mail, il regarde le pseudonyme de l’auteur du commentaire afin que tout le monde puisse avoir son propre avatar. Ça a bien été le casse-tête, mais vous l’aurez remarqué, j’aime bien ce genre de petits défis !

Ah et au fait…

Bonne année !

Le swap de Noël

Ça y est ! Noël est passé, j’espère que le vôtre a été joyeux :) . Le mien l’a été ! D’autant que la veille, un colis est arrivé par la Poste :

Livre sur le crochet et Schoko-Bons

Un chouette livre sur le crochet qui, bien qu’il soit destiné aux débutants, possède quelques idées sympa auxquelles je n’aurais pas pensé seule, et la technique pour coudre correctement deux bords ensemble :D . Et avec, il y avait des Schoko-Bons, qui ne sont déjà plus, paix à leur âme. Le tout de la part de À 5 c’est mieux, un grand merci à elle !

De mon côté, j’ai tricoté une écharpe en bébé alpaga rose pour Lili. J’ai complètement craqué sur le fil, tellement il est doux, malgré que ce soit de la laine (et moi d’habitude, la laine, c’est vraiment pas mon amie). Et il est très épais, ce qui était parfait pour le tricoter avec le doigts !

en train de tricoter avec les doigts

C’est la toute première fois que je tricote un véritable motif avec les doigts, pour la simple et bonne raison que sur internet je n’ai trouvé la technique que pour tricoter des mailles envers, et pour faire autre chose que du point mousse, il faut savoir faire des mailles envers ET des mailles endroit. Alors j’ai dû inventer moi même la technique pour les mailles endroit ! Comme j’avais bien observé la différence entre mailles envers et mailles endroit avec deux techniques différentes déjà (le tricot classique avec les aiguilles et le tricot avec un crochet), ça n’a pas été très dur, et après quelques tâtonnements, j’ai trouvé comment faire sans même que ça me fasse des mailles torses :) Faudrait peut-être que j’en fasse des vidéos un jour :p D’ailleurs c’est drôle, même en anglais je trouve pas, le seul tricot avec les doigts qu’on trouve, c’est du tricotin…

Pour le motif, je me suis inspirée d’un bonnet d’une camarade de classe, que j’avais bien observé et que dont j’avais essayé de voir si je pouvais en reproduire le motif rien qu’à l’œil, en tricotant avec mon crochet.

J’ai pris beaucoup de plaisir à tricoter cette écharpe !

L'écharpe terminée

Père Noël surprise !

Dans un peu plus d’un mois, ce sera Noël ! À cette occasion, Thé Citron organise un échange de cadeaux entre blogueurs : on s’inscrit, et elle tire au sort parmi les participants la personne à qui on envoie un cadeau, et de qui on en reçoit un. Et donc on ne sait pas à l’avance qui nous l’envoie, c’est la surprise !

Et donc, comme je m’y suis inscrite, si vous voulez avoir une chance de recevoir un petit truc fabriqué avec mes petites mains, vous n’avez qu’à vous inscrire !